En écho à
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Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
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Tout à fait d'accord avec toi .... Hélas !
RépondreSupprimerBisous Marie et bon aprés midi ( un peu trop chaud )
Bonjour
RépondreSupprimerC'est très sombre ce poème...
Je suis de retour
Bisous
Joliment dit.......
RépondreSupprimerJe viens de faire une petite randonnée de quelques jours , disons plutôt un pèlerinage..
Je suis rentré plutôt car la chaleur m'a épuisé... Et je dois ménager mon coeur...
Je viens de publier un petit poème sur ma balade ...
J'espère Marie que tout va pour le mieux
Bon et doux weekend que la météo annonce encore chaud
Bisous
timilo
la réalité devient tellement désespérante
RépondreSupprimerTexte un peu triste pour commencer cette journée mais la realité est bien là !
RépondreSupprimerBises Marie
Malheureusement c'est la couleur du sang qui prend le dessus ! Des tueries, du terrorisme, des orphelins...
RépondreSupprimerUn monde fou de guerre...
Un texte qui résonne en moi tout particulièrement en cette veille de scrutin en Grèce.
RépondreSupprimerQuel que soit le résultat, j'espère que les Grecs ne se déchireront pas le jour suivant. Ce serait la pire chose!
Bisous Marie
Le monde est en guerre. La barbarie est à nos portes et je ne sais si un jour cela s'arrêtera. Ton texte est bien dans l'actualité.
RépondreSupprimerTriste réalité et qui prend de l'ampleur ...
RépondreSupprimerMerci à tous pour tous vos messages...
RépondreSupprimerLe monde attend toujours comme le dit Maurice Carême dans un de ses poèmes:
Il viendra
" Vous verrez, dit-il, il viendra,
Celui qui est meilleur que moi."
Et le jour même de sa mort,
L'homme arriva plus simple encor
Et plus enclin à pardonner
Qu'on eût osé l'imaginer.
Mais à son tour, il répéta,
" Vous verrez, dit-il, il viendra,
Celui qui est meilleur que moi."
Voici deux mille ans
Qu'en ce monde en feu, on l'attend.