Soweto et ses autres facettes, entre richesse et pauvreté, entre les cicatrices laissées par l'apartheid...
Un survol en images qui mériterait d'être approfondi, en voyage on passe trop vite sur les vrais aspects de la vie aujourd'hui...
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"Attention!... Ce n’est pas une attraction pour touristes en manque de sensations mais un musée vivant, constitué des millions de personnes qui s’y sont battues et y vivent encore." Lebo Malepa
photos mai 2023
J'aime ces séries documentaires qui montrent la vraie vie même quand ce n'est pas la vie de tous mais la vie des moins bien lotis, des pauvres, de ceux qui survivent dans des conditions insupportables... et résistent malgré tout.
RépondreSupprimerTriste réalité qui est souvent volontairement cachée par les "vendeurs de tourisme". Photos très parlantes, hélas.
RépondreSupprimerMerci Marie et Chinou .....On a des yeux pour au moins entrevoir la réalité souvent cachée... Il faudra sûrement plusieurs générations pour reconstruire un pays zébré de cicatrices...
Supprimerun séjour probablement difficile où la réalité brusque vient confronter notre regard
RépondreSupprimerComment pourrait-on commenter de telles images ?
RépondreSupprimerElles sont sidérantes ...
"Attention!... Ce n’est pas une attraction pour touristes en manque de sensations mais un musée vivant, constitué des millions de personnes qui s’y sont battues et y vivent encore." Lebo Malepa
RépondreSupprimerVisiblement la pauvreté est encore bien présente. A quand la fin des inégalités?
RépondreSupprimerJe n'aime pas quand le tourisme masque la réalité de la vie des gens du pays. Tu nous montres ce qui est et ces images sont tellement parlantes qu'elles se passent de commentaires. Désolée d'avoir raté tes derniers articles mais comme blogspot n'envoie plus de news c'est vraiment la galère pour suivre surtout en ce moment où j'ai pas mal d'occupations. Bon weekend
RépondreSupprimerTu as été au cœur de la vraie vie dans les quartiers déshérités.
RépondreSupprimerY-en-a -t-il d'autres?
là, le vie s'organise, autour de petits commerces, du à manger peut être, recettes typiques locales.
Le nom de "favela " me vient en mémoire.
Brésilien au départ, nom qui dérive d'une plante.
Plante pointue piquante, sur un mont à Salvador de Bahia.
Et de ceci, je ne savais rien, il y a une minute.
C'est à cause de toi, comme le slogan de la FNAC, agitatrice de pensées.
Pour moi, ça a été un voyage dans le voyage.
Amic@lement. Yann
"Entre guitare et fusil
SupprimerJonathan a bien choisi
Ses chansons sont des pavés
Des brûlots
Qui donnent des ailes aux marmots
Sa musique a fait rouiller
Les barbelés
Et scié bien des barreaux
A Soweto, dans le ghetto
Jonathan pourtant ne porte aucun drapeau
Entre le noir et le blanc
Jonathan n'a pas choisi
Car depuis la nuit des temps
Il sait aussi
Que tous les salauds sont gris
Que l'homme est un loup pour l'homme
Un peu partout
Jonathan sait pourtant
Qu'à Soweto, dans le ghetto
Des loups blancs sont plus sauvages et plus méchants
Jonathan est un peu feuj' et un peu fou
Un peu british, un peu zoulou
Mais Jonathan est Africain avant tout
Rebelle vivant et debout" Renaud
J'ai fait rêve d'Afrique, amante hypnotisée,
RépondreSupprimerInsouciante au ravage
L'horreur de l'esclavage
J'ai traversé le ciel pour le concrétiser
Arrivant tout au Sud des terres africaines
Où l'apartheid narguait mes soifs républicaines...
Bonjour Marie,
Je sais l'esclavage et je sais la misère mais c'est en Afrique du Sud que je les ai vraiment rencontrés. Bien sûr aux antilles on peut aussi voir les 2, difficile à expliquer mais je n'ai pas ressenti du tout la même douleur. Il y a tant de choses qui n'ont jamais tourné rond dans ce monde !
Bonne journée