Merci

Un immense MERCI pour tous les messages laissés sous mes poèmes...Si vous passez, laissez un petit mot c'est faire plaisir et valoriser photos et poèmes...MERCI

Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours.. Trop d'inconnus passent avec indifférence piochant ici et là images et mots!...
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vendredi 23 mai 2014

jeudi 22 mai 2014

mercredi 21 mai 2014

Photos:...Balade et pique-nique en famille...


Balade et pique-nique en famille
Sur un étang sauvage au bord du Clain

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Balade avec les cygnes

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mardi 20 mai 2014

Citation d'écrivain:...Il nous faut regarder... Bertrand Vergely



Une petite fille prise en photo au Vietnam

lundi 19 mai 2014

dimanche 18 mai 2014

Poème:...Mort d'une fleur d'amour...

Un vieux poème écrit en 2009...
inspiré de faits que l'on dit "divers"

Un texte
écrit en hommage
                                           à toutes les femmes humiliées, harcelées, battues..


 Mon texte n'a rien de poétique
mais il voulait
à cette époque dire une réalité....
qui hélas continue d'exister...



vendredi 16 mai 2014

mercredi 14 mai 2014

mardi 13 mai 2014

lundi 12 mai 2014

Poème:...Je te donne...


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samedi 10 mai 2014

Photos:...les marais de Bourges...

 

 

Les marais de Bourges

Les marais de Bourges, monde secret , monde des eaux calmes et des vertes frondaisons,
les marais de Bourges constituent un incomparable espace de détente
et de nature au pied de la vieille ville ,
à quelques centaines de mètres du chevet de la cathédrale.
Avec leur abondance de légumes et de fleurs,
ces 135 ha de parcelles amoureusement cultivées par leurs propriétaire
s offrent l'image d'un lieu de convivialité
et de promenade dans une nature préservée.

Un peu d'histoire : Les terrains marécageux qui entouraient Bourges
ont longtemps assuré la défense de la ville.
Au XVIIe siècle, les jésuites achètent une partie de ces "marais"
et les louent à des particuliers
qui les transforment en parcelles cultivables..

Avec la Révolution et la vente des biens nationaux,
cette mise en culture s'intensifie :
les maraîchers ou "maretiers" alimentent la ville en fruits et légumes
pendant trois siècles.
Au milieu du XXe siècle,
avec le changement des modes de production et de distribution,
la profession décline pour disparaître dans les années 1970.
Aujourd'hui exploités en jardins familiaux,
les Marais de l'Yèvre et de la Voiselle ont été classés en 2003
sur la liste des Monuments Naturels et des Sites.

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vendredi 9 mai 2014

poème:...Le galet et l'enfant...



Une aventure vibre

au profond du galet.

Musique de fontaine

où s'abreuve un poème.

Paul Bergèse 


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D'autres poèmes de sable:










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D'autres textes entre terre et mer
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jeudi 8 mai 2014

mercredi 7 mai 2014

Haïku:...Robes en chiffon



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mardi 6 mai 2014

samedi 3 mai 2014

Photos...Sur les pas du grand Meaulnes... (photo de la semaine chez Amartia)

Photo de la semaine chez Amartia

La Chapelle d'Angillon

La Chapelle d'Angillon,
 le village natal d'Alain-Fournier
 qui en fait, dans son roman, 
le village natal d'Augustin Meaulnes 
et le désigne sous le nom de Ferté d'Angillon 

Photos du château et de l'étang






Nançay


Si, depuis La Chapelle, on prend la petite route de Presly le Ch'ti et que l'on suit la forêt,
 on parvient tout à coup dans le petit village de Nançay.

"C'est le pays de mon père. 
On y arrive après cinq lieues de voyage
 par des routes perdues, 
dans des voitures antiques... 
Nous avons toujours des histoires
 de voitures démolies, d'averse,
 de cheval embourbé dans un pré 
où on a voulu le faire boire. "



"Avec ça, au coin des bois,
 des horizons par-delà les bois et les routes
 comme on n'en a peut-être pas sur mer,
 même à Toulon".

"Arrivés au village, c'est une bouffée d'air familial qui nous attend. 
Une plaque, apposée sur la grosse maison en face de l'église, 
commémore "la vie de l'immense magasin" 
que l'oncle Florentin du Grand Meaulnes 
(Florent Raimbault en réalité) y tenait. "

C'est là, en effet, que le beau-frère de M. Fournier
 vécut avec la soeur,de ce dernier, 
la tante Augustine, 
et leurs neuf enfants dont les huit petites cousines germaines d'Henri Fournier 
chez qui il passait chaque année
 la dernière semaine de vacances.



 


Meaulnes  rencontre une jeune fille dont il tombe aussitôt amoureux.
 Il ne fait cependant qu'échanger quelques mots avec elle : 
elle lui dit son nom, « Mademoiselle Yvonne de Galais »,
 mais lui demande de ne pas la suivre.
 Au retour, on apprend que la fiancée tant attendue s'est enfuie ;
 le mariage n'a pas lieu et la fête prend fin tristement.




"Un grand silence régnait sur les berges prochaines. 
Le bateau filait
 avec un bruit calme de machine et d'eau. 
On eût pu se croire au cœur de l'été. 
On allait aborder, semblait-il, 
le beau jardin de quelque maison de campagne.
La jeune fille s'y promènerait sous une ombrelle blanche.
Jusqu'au soir on entendrait les tourterelles gémir... 
Mais soudain une rafale glacée venait rappeler décembre 
aux invités de cette étrange fête.
On aborda devant un bois de sapins. 
Sur le débarcadère, les passages durent attendre un instant,
 serrés les uns contre les autres, 
qu'un des bateliers eût ouvert le cadenas de la barrière... 
Avec quel émoi Meaulnes se rappelait dans la suite cette minute où, 
sur le bord de l'étang, 
il avait eu très près du sien le visage désormais perdu de la jeune fille ! 
Il avait regardé ce profil si pur,
 de tous ses yeux, 
jusqu'à ce qu'ils fussent  près de s'emplir de larmes.
 Et il se rappelait avoir vu, comme un secret délicat
 qu'elle lui eût confié, 
un peu de poudre restée sur sa joue.."


A la recherche du sentier perdu

« cette grande voie d’herbe verte

 qui coule sous les feuilles ».


 
"Je cherche quelque chose de plus mystérieux encore.

 C’est le passage dont il est question dans les livres,
 l’ancien chemin obstrué, celui dont le prince harassé de fatigue 
n’a pu trouver l’entrée.
 Cela se découvre à l’heure la plus perdue de la matinée,
 quand on a depuis longtemps oublié qu’il va être onze heures, midi. . . 
Et soudain, en écartant, dans le feuillage profond, les branches, 
avec ce geste hésitant des mains à hauteur du visage inégalement écartées,
 on l’aperçoit comme une longue avenue sombre
 dont la sortie 
est
un rond de lumière tout petit."


Si vous regardez bien vous verrez tout au fond du sentier les silhouettes de
Augustin Meaulnes et de Yvonne de Galais 



couverture de la BD
Les dessins de Bernard Capo sont extraordinaires...


http://mesinstantanes.blogspot.gr/

 C'était Mardi

cliquez sur le lien
pour avoir un résumé

du  roman d'Alain Fournier
Le
  Grand Meaulnes 

vendredi 2 mai 2014