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Merci
Un immense MERCI pour tous les messages laissés sous mes poèmes...Si vous passez, laissez un petit mot c'est faire plaisir et valoriser photos et poèmes...MERCI
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours.. Trop d'inconnus passent avec indifférence piochant ici et là images et mots!....
vendredi 26 février 2016
jeudi 25 février 2016
Photos:...Les amoureux de Verdun...Puy du Fou 2015...
Les amoureux de Verdun
Puy du Fou
décembre 2015
Au fil de la correspondance amoureuse d’un soldat et sa fiancée,
on plonge au coeur de l’hiver, dans une tranchée enneigée,
à la rencontre de soldats héroïques.
A la veille de Noël, les fumées envahissent les galeries,
le sol tremble à chaque nouvelle explosion,
les alarmes retentissent…
Tout semble perdu,
mais en ce 24 décembre 1916
, les soldats ne savent pas encore qu’ils vont vivre un Noël
qu’ils n’oublieront jamais !
Dans les entrailles d’une tranchée de la Première Guerre Mondiale,
accompagnés par l’échange épistolaire d’un « Poilu » avec sa fiancée
. On découvre la réalité de la vie dans la tranchée :
l’effervescence du poste de communication, l’urgence de l’infirmerie,
les appels du vaguemestre (service postal),
la corvée de soupe, les éclats d’obus, les bombardements…
Entre les chenilles du char d’assaut et les hélices d’un avion écrasé,
on avance au milieu d'une tranchée hors du temps
qui nous conduit jusqu’au soir de Noël
et nous raconte la trêve qui eut lieu entre les deux camps opposés,
une nuit symbolique
où le bruit des armes a cédé la place aux chants des soldats.
Au fil de la correspondance amoureuse d’un soldat et sa fiancée,
on plonge au coeur de l’hiver, dans une tranchée enneigée,
à la rencontre de soldats héroïques.
A la veille de Noël, les fumées envahissent les galeries,
le sol tremble à chaque nouvelle explosion,
les alarmes retentissent…
Tout semble perdu,
mais en ce 24 décembre 1916
, les soldats ne savent pas encore qu’ils vont vivre un Noël
qu’ils n’oublieront jamais !
Dans les entrailles d’une tranchée de la Première Guerre Mondiale,
accompagnés par l’échange épistolaire d’un « Poilu » avec sa fiancée
. On découvre la réalité de la vie dans la tranchée :
l’effervescence du poste de communication, l’urgence de l’infirmerie,
les appels du vaguemestre (service postal),
la corvée de soupe, les éclats d’obus, les bombardements…
Entre les chenilles du char d’assaut et les hélices d’un avion écrasé,
on avance au milieu d'une tranchée hors du temps
qui nous conduit jusqu’au soir de Noël
et nous raconte la trêve qui eut lieu entre les deux camps opposés,
une nuit symbolique
où le bruit des armes a cédé la place aux chants des soldats.
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Si l'on pouvait
Ah si l'on pouvait, sur toute la terre,
replanter les croix,
les croix des soldats de la dernière guerre
pauvres croix de bois ;
si pour arroser ces croix de misère
en chêne, en sapin,
on prenait les pleurs des femmes, des mères
et des orphelins,
on verrait pousser des forêts entières
qui nous cacheraient les murs, les frontières
et chaque matin,
le vent y viendrait chanter sa prière,
y viendrait aussi, blanche messagère,
la colombe, enfin !
Les arbres feraient le tour de la terre
si chacun pouvait, avec ses deux mains,
replanter un jour ces croix de misère
les croix des soldats de toutes les guerres.
Albums
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dimanche 21 février 2016
Poème:...T'avais juste 20 ans...
T'avais juste 20 ans
1916...2016
en hommage à mon grand-père
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Photos et cartes postales
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Albums
Poèmes
samedi 20 février 2016
Hommage à mon grand-père.....Photos et cartes postales...
Hommage à mon grand-père
Un article posté en novembre 2013
Voici
quelques photos des cartes postales envoyées
par mon
grand-père à sa fiancée
pendant la guerre 14-18
Etre
fidèle à ceux qui sont morts,
ce
n'est pas s'enfermer dans sa douleur.
Il faut
continuer à creuser son sillon droit et profond,
comme
ils l'auraient fait eux-mêmes,
comme
on l'aurait fait avec eux, pour eux.
Martin Gray
Martin Gray
Mon
grand-père était brancardier,
(le
deuxième à gauche sur la photo)
il a
fait toute la guerre...
Il
s'est marié à son retour en 1919 a eu trois enfants...
Sa
femme est décédée,
emportée
par la grippe espagnole...maman avait trois mois
Il
perdra tour à tour son petit garçon ...(même année que sa maman ...grippe
aussi...il avait trois ans je crois)
puis sa
fille aînée à l'âge de 7 ans décédée d'une péritonite
Mon
grand-père s'est remarié et c'est sa deuxième femme qui avait fait l'album pour
maman...Elle n'avait pas retrouvé les lettres juste les cartes...
C'est
cette grand-mère que j'ai connue et qui a donc élevé ma maman...
Ils ont eu ensemble un fils, décédé à 40 ans d'un
cancer...
L'album a été retrouvé dans un grenier,
maman
est très heureuse de le feuilleter à nouveau..
Mon
grand-père ne me parlait jamais de la guerre,
sauf
une fois, j'étais en terminale
car
j'avais un devoir à faire sur Verdun
et le
"Chemin des Dames"...
Il a
bien voulu me donner son témoignage...
hélas
le devoir, je le cherche
depuis
quelques années sans le retrouver...
Anecdote...J'ai eu 2 sur 20...
car
j'avais sans doute tout copié dans un livre
d'après
mon prof...c'était 2 pour l'encre..
Moi,
timide, j'ai osé dire le 2 vous l'avez mis à mon grand-père c'est son
témoignage,
d'ailleurs
je l'avais noté au début de mon devoir,
c'est juste un témoignage ...
Le prof a repris ma copie et me l'a
redonnée quelques jours plus tard avec un 19, en disant excuse-moi...
je
n'avais pas tout lu!!!!!!!
Mon
grand-père était brancardier car avant de partir
au régiment en 1913, il s'est crevé un œil en
coupant du bois!
Il m'a dit:
"tu vois c'est une chance, j'ai sauvé des
vies plutôt que de tuer"
Il m'a dit aussi que parfois les tranchées
allemandes et françaises étaient si proches que les soldats s'échangeaient
tabac et nourriture...
puis le
signal de l'assaut était donné,
ils étaient obligés de s'entretuer...
Il m'a dit avoir ramassé
beaucoup de soldats agonisants tous prononçaient avant de mourir le même mot
"maman"
ou le prénom de leur fiancée ou femme...
Sans
avoir appris aucune langue,
il me
disait comprendre ces mots-là...
Il a rapporté des tranchées des
jambes pleines de plaies purulentes...
ma
grand-mère lui mettait des petites bandelettes de linge fin matin et soir...
Il a rapporté aussi de l'asthme
qui
l’empêchait de dormir...
Et
aussi son papier Zig-Zag et son tabac gris
que j'allais lui acheter quand j'allais en
vacances
chez
mes grands-parents!
Voilà,
il méritait bien cette page
pour qu'on ne l'oublie pas, lui et ses
amis...
Albums
Et passe le temps,
Photos: Divers
vendredi 19 février 2016
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