Au Pays des Images et des Mots: Poèmes, citations illustrées, créations d'images, voyages, photos...
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J'ai beaucoup aimé...
RépondreSupprimersuperbe
Toujours un plaisir de lire tant d'émotions partagées
RépondreSupprimerIl arrive aux mamans de perdre leur bébé avant de les connaître mais elles ne les oublie jamais...Elles ont tellement chanté ce refrain de Mannick:
RépondreSupprimer"Reste au creux de moi, mon enfant, mon tout petit
Reste au creux de moi, le voyage n'est pas fini"...(Berceuse pour un petit enfant à naître)
Mais leur bébé a terminé le voyage trop vite.
Que te dire ?
RépondreSupprimerQue ce soit ton frère ou ce petit qui n'a pas vu le jour, tu as trouvé les mots qui émeuvent au plus profond de soi.
C'est toujours trop tôt, trop vite, quand l'enfant qu'on attendait ne viendra pas.
Je t'embrasse fort.
Petite âme souvenir
RépondreSupprimerQu'une mère porte
Comme un cadeau
Égaré en son cœur!
Petite perle oubliée
qui renaît
chaque fois
qu'un bébé apparaît
dans ce monde indifférent
qui écrase nonchalamment
les restes de toute vie!!!!
Bonsoir
RépondreSupprimerUn poème déchirant sur un sujet sensible, que tu as conduit d'une main de maître.
amitiés,
Jean-Luc
RépondreSupprimerMa peine est si grande et il était si petit...
Car oui, cela est arrivé... Une nuit.
J'ai du mal à dire "je".
Comme dans un cauchemar...
Mais peut être était ce mieux ainsi ?
Je n'ai pas eu le choix, quand il s'est installé en moi,
et celui qui m'a fait ce bébé ne m'a pas demandé mon avis non plus...
Mais je n'ai également pas eu le choix quand cette nuit là,
il est parti de moi.
J'ai peur...
Mais merci d'écrire, pour me montrer qu'on est pas forcément seules.
« Une mère, c'est vaste comme le monde.
RépondreSupprimerElle est l'univers de chaque enfant qu'elle a porté,
un univers unique qu'elle a inventé à chaque maternité. »
Pierre Karch
quelle offrande!
RépondreSupprimerquelle émotion!
une grande poésie d'amour!
quel partage!
un énorme merci pour cette poésie digne et belle!
gérard
Berceuse pour un enfant à naître
RépondreSupprimerRefrain:
Reste au creux de moi, mon enfant, mon tout petit
Reste au creux de moi, le voyage n'est pas fini
Je sens que tu es là, enveloppe de nuit
J'écoute sous mes doigts mon ventre qui frémit
Je ne sais pas encore où cognera le fruit
Ni le cri de mon corps, en m'arrachant ta vie
Je suis ton horizon, ta bouche et ta chaleur
Ma plus belle chanson, c'est le pas de ton cœur
Et quand revient le soir, tu m'offres la douceur
De tes sursauts bavards, et je t'apprends par cœur
Tu glisses à travers moi jusqu'à l'orée du jour
Ou tu t'échapperas à force d'être lourd
Tu es le prisonnier de mon toit de velours
Et je ne peux manquer ton rendez vous d'amour
Mannick
Tout est dans le titre de ton émouvant poème
RépondreSupprimer"mon enfant de bois"
tu as dit une trés belle phrase:"Rien n'est jamais grave vu de l'exterieur" et c'est si vrai et si profond car ça explique même le fond de ton poème.
Perdre un bébé sans le voir n'est pas aussi façile pour une maman que celà puisse paraitre en effet.
Les mamans gardent un trés fort amour pour ces bébés des fausses couches ou avortement spontané,c'est vraiment surprenant ce sentiment fort entre une maman et cette partie d'ellle qui n'arrive pas à voir la lumière du jour et vivre.
C'est vrai que le souffle de la vie de ce bébé fut un brève souffle mais il laissa une profonde marque d'amour sur le coeur de la maman.
Un émouvant et trés beau poème comme tu sait l'écrire ta sensible et belle plume.
bonne soirée..
je te redis ici tout le plaisir que j'ai eu à lire ta si belle inspiration sur cette image qui pour l'instant me laisse sans mot
RépondreSupprimerCette émouvante sculpture d'un enfant en pleurs rappelant
RépondreSupprimerla pose du foetus, t'a inspiré ce bouleversant poème qui interpelle
très fort mon coeur de maman. Merci, Marie.
Toujours la même émotion à te relire ici.
RépondreSupprimerTu as donné une âme à cet enfant de bois. Il restera toujours dans ton coeur.
Gros bisous à toi ma chère Mari
C'est un magnifique poème, tu as su tirer de l'image une histoire à couper le souffle pleine d'émotion.
RépondreSupprimerBravo ! Bisou
Souffrance et souvenir
RépondreSupprimerdes brins de lumière
de la tendresse à n'en plus finir
une image , bien plus forte qu'une image
coeur de l'arbre / coeur de mère
e ressens ton poème comme une déchirure jamais comblée; il t'a inspiré des mots bouleversants, qui font monter les larmes aux yeux. Ah! le chagrin des mères, seule une mère peut l'écrire, elle qui a souffert.
RépondreSupprimerJe t'embrasse bien fort, chère Marie
Lorraine
Tu me laisses sans mot, ma chère Marie tellement ce poème me bouleverse par ce que tu as su si bien exprimer par cet enfant de bois ! C'est très beau, mais si douloureux pour une maman !
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