Merci

Un immense MERCI pour tous les messages laissés sous mes poèmes...Si vous passez, laissez un petit mot c'est faire plaisir et valoriser photos et poèmes...MERCI

Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours.. Trop d'inconnus passent avec indifférence piochant ici et là images et mots!...
.

jeudi 20 octobre 2011

Poème: Graffitis de nuit

Copyrightdepot.com 00048672-2

 
Mes pensées ont fondu

Tout au fond de l’encrier…



Sur la page blanche,

Mes graffitis griffonnent

Les traces noires de mes non-dits

Toutes ces choses qu’on ne dit pas

Et qui se cachent au fond de moi…


****************


Et c'est parfois dans un regard, dans un sourire
Que sont cachés les mots qu'on n'a jamais su dire,
Toutes les choses qu'on ne dit pas
Et dont les mots, les mots n'existent pas,
Toutes les choses qu'on ne dit pas,
Mais que l'on garde pour toujours au fond de soi,
Et qu'on emporte en l'au-delà, là où les mots, les mots n'existent pas.

Yves Duteil

24 commentaires:

  1. La vie est au fond de toi, vaillante quelque soient les affres du monde qui t'entoure, les tourments qu'il t'inflige. Elle est là pour toi parce que tu la mérites. Douce soirée à toi Marie. Amitiés. Joëlle

    RépondreSupprimer
  2. Merci Joëlle de ton message...

    Mes poèmes ne décrivent pas seulement mes propres sentiments mais aussi les ressentis de ceux ou celles que je rencontre...

    Ce poème est écrit pour tous ceux qui connaissent ces longues solitudes de la nuit...

    RépondreSupprimer
  3. un magnifique poème écrit avec une plume trempée dans l'encre de la solitude et qui appelle des réponses
    IL touche le coeur et nous incite à la réflection

    bisous Marie

    RépondreSupprimer
  4. Merci Marie pour ces mots de la nuit douloureux mais si beaux. Elle est parfois si longue qu'on perd espoir de retrouver la lumière...mais elle est comme tu le dis dans ces perles de rosée du jour qui renaît
    Bon week end

    RépondreSupprimer
  5. Aussi longue, aussi noire soit notre nuit, il faut se dire toujours que le soleil fini par se lever

    RépondreSupprimer
  6. Line, Jackie, Ondine, Tony Yves
    Merci

    "Parle-moi,

    J’ai des choses à te dire
    Raconte tes délires
    J’écoute à cœur ouvert.

    Parle-moi,
    En rap, en rock, en rage
    J’accueille tes messages
    Tes bouteilles à la mer.
    Pour te dire,
    Tout ce qui nous ressemble
    Et ce qui nous rassemble
    Et la fleur et le fruit.

    Pour te dire,
    Les matins, les aurores,
    Et beaucoup plus encore
    De ce qui nous unit,
    Unit, nous UNIT !"

    Jean-Claude GIANADDA..."Graffitis"

    RépondreSupprimer
  7. Bravo Marie pour ce slam qui je trouve est très difficile à écrire, tout comme j'ai de la difficulté à le lire comme il se doit. L'essentiel qu'on ne dit pas, ces mots que l'on garde en soi. Il faut oser le dire...

    RépondreSupprimer
  8. Chère Marie, je te renouvelle ici mes compliments pour ce texte si triste mais si beau.

    RépondreSupprimer
  9. Un texte vraiment magnifique chère Marie, que j'ai eu grand plaisir à relire.

    Gros bisous à toi et continue !

    RépondreSupprimer
  10. Cris de détresse et cris d'espoir se conjuguent dans ce poème
    pour nous offrir, chère Marie, de très beaux graffitis de nuit!
    J'aime!

    RépondreSupprimer
  11. Parle-moi,

    J’ai des choses à te dire

    Raconte tes délires

    J’écoute à cœur ouvert.



    Parle-moi,

    En rap, en rock, en rage

    J’accueille tes messages

    Tes bouteilles à la mer.

    Pour te dire,

    Tout ce qui nous ressemble

    Et ce qui nous rassemble

    Et la fleur et le fruit.



    Pour te dire,

    Les matins, les aurores,

    Et beaucoup plus encore

    De ce qui nous unit,

    Unit, nous UNIT !

    Jean-Claude GIANADDA..."Graffitis"

    RépondreSupprimer
  12. Tant de tristesse et tant de beauté se réunissent dans ce superbe texte,
    parfaitement illustré, comme toujours. J'adore ! Graffitis de nuit...(slam et gazouillis) 120660
    Merci aussi, chère Marie, pour ces "graffitis" de Jean-Claude Gianada que
    j'aime beaucoup.

    RépondreSupprimer
  13. Combien tes mots font mal, ma chère MARIE et me touchent profondément.... Ce poème est magnifiquement triste et je l'ai lu et relu... Pouvoir exprimer ainsi ce que l'on ressent, ne console pas du chagrin existant, mais si les mots arrivent à se libérer, un peu, sans doute que ta Muse se sentira un peu plus légère...... Très, très sensible à tes mots, sans doute les grandes histoires inachevées sont elles celles qui sont les plus difficiles à oublier !

    Je t'embrasse MARIE

    RépondreSupprimer
  14. "Parle moi .....
    j'écoute à coeur ouvert... " chante Jean Claude
    même quand c'est noir
    même quand il est nuit en plein jour
    souffrance en plein sommeil
    orage en pleine vie

    Dommage que nous manquions tellement d'écoutants


    paul

    RépondreSupprimer
  15. Chère Marie
    Je ne sais pourquoi j'ai envie de répondre ainsi à ton poème... c'est parti !
    Peut-être mon état d'esprit actuel... Un autre graffiti...

    Vie.
    Que je me blesse à te rendre forte
    Que je me dresse dans ta mémoire
    Que je jette le vent dans le violon
    Toutes mes forces tendues dans les cordes
    Pour arriver de la mer
    Jusqu’à toi, soulevant les voiles de la maison.
    Que je dessine pour dire sur les murs
    Toutes les failles, mes désillusions,
    Tout ce que je tais de blanches, de noires,
    Au milieu de mes nuits
    Un seul jour en toutes saisons,
    A coups de craie sur le tableau de minuit
    Partout dans le temps ouvrant ses horizons,
    Conjuguant la lampe de mes déceptions...

    Toujours le même plaisir à te lire.

    RépondreSupprimer
  16. Chère Marie
    Je ne sais pourquoi j'ai envie de répondre ainsi à ton poème... c'est parti !
    Peut-être mon état d'esprit actuel... Un autre graffiti...

    Vie.
    Que je me blesse à te rendre forte
    Que je me dresse dans ta mémoire
    Que je jette le vent dans le violon
    Toutes mes forces tendues dans les cordes
    Pour arriver de la mer
    Jusqu’à toi, soulevant les voiles de la maison.
    Que je dessine pour dire sur les murs
    Toutes les failles, mes désillusions,
    Tout ce que je tais de blanches, de noires,
    Au milieu de mes nuits
    Un seul jour en toutes saisons,
    A coups de craie sur le tableau de minuit
    Partout dans le temps ouvrant ses horizons,
    Conjuguant la lampe de mes déceptions...

    Toujours le même plaisir à te lire.

    RépondreSupprimer
  17. Tant de questions à la lune sous le dais de la tristesse ......tant de graffitis qui égratignent le coeur .....tant de mots posés pour adoucir la vie, tant de dentelles cachées ; tant de nuit ou personne ne vient sourire la solitude ....mais chaque mot posé est un pont pour l'espoir ....car dans chaque photo que tu prends , chaque toile que tu peins , chaque poésie que tu nous offres , tu cries ton désir de faire chanter la vie .....et forcément , un jour la porte se déverrouillera .....

    RépondreSupprimer
  18. Quelle tristesse, quel désarroi ! Que d'émotions contenues dans l'assemblage merveilleux des mots et des images ! Que de non-dits qui hurlent dans le noir

    RépondreSupprimer
  19. Mes pensées ont fondu
    Tout au fond de l'encrier
    Les années ont passé
    Et les traces noires de mes non-dits
    Gribouillent chaque jour un peu plus ma vie

    RépondreSupprimer
  20. Pas du travail! De la stupéfaction Marie!
    Est-ce un slam? Je n'en sais rien! C'est plus beau que la plupart des slams ou dénommés tels. Les sonorités que tu as trouvées sont à couper le souffle et malgré cette recherche évidente de rythme, tes vers veulent toujours dire quelque chose, tes vers m'émeuvent. Tu (m')écris et tu (me) poses des questions auxquelles je ne saurai répondre tellement elles restent chez moi sous forme de questions. Y a-t-il une réponse aux graffitis de nuit?
    Je ne crois pas qu'aucun des jeunes slammeurs d'aujourd'hui qui expriment leurs révolte et leur mal être existentiel dans le slam, élève leur propos à un pareil niveau.
    Pour moi c'est de la poésie sensu stricto. Mais s'il faut vous inciter à venir à l'atelier slam pour que vous nous sortiez de si belles choses, alors allons-y!
    Au lieu de "slam et gazouillis", on pourrait l'intituler: "Sons et Lumières" ou "Liberté non maîtrisée" ou "Ici on se lâche!"

    RépondreSupprimer
  21. Magnifique !

    Je ne sais pas si ces "Graffiti de nuit" sont un slam mais ce que je sais c'est que les mots se succèdent, s'entre-choquent, se bousculent, se projettent sur le mur de tes nuits.

    Bravo Marie pour ce beau travail que Lisette a apparemment aussi dégusté comme un bon gâteau.

    RépondreSupprimer
  22. Comme Lisette, je ne sais pas si c'est un slam, mais je peux dire que je suis béate d'admiration, chère Marie. C'est beau, c'est bien dit, ça fait battre le coeur à un rythme supérieur... Juste bravo ! A poster sur Eclosion, si ça n'a pas été fait.

    Ma Lisounette, je peux renommer cet atelier, à ta convenance, il suffit de me donner le nouveau titre.

    RépondreSupprimer
  23. Je réponds à Domie: mon changement de titre était une boutade. Dans "Slam et Gazouillis" il y a slam, bien sûr, mais il y a aussi gazouillis, qui mènent bien à des textes écrits pour "l'oralité" . Des textes où le son a la primeur. C'est la singularité par rapport à "Eclosion de poèmes" que je voudrais voir dans cet atelier où tout le monde peut décider de mettre quelque chose. Cela oblige à écrire un peu autrement. Au point de vue des mots, pas besoin d'y mettre des mots d'argot si cela n'est pas nécessaire. Rechercher la rythmique qui est bien sur présente dans le poésie versifiée, mais qui là, s'étale tout au long du poème. Ecrire pour lire tout haut!
    Voilà mon idée du slam

    RépondreSupprimer

Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours...
)

Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire

Balises pour rédiger un commentaire