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Dédié à mon papa et à ma maman
C’est la fin de l’été ;
Les yeux se sont rouillés
En souvenirs mouillés…
Les pages de la vie
S’enferment sans un bruit
Dans l’hiver des oublis…
Mais d’étranges lueurs
Danseront de bonheur
Dans les replis du cœur…
Les yeux se sont rouillés
En souvenirs mouillés…
Les pages de la vie
S’enferment sans un bruit
Dans l’hiver des oublis…
Mais d’étranges lueurs
Danseront de bonheur
Dans les replis du cœur…
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Lumière profuse, splendeur, l'été s'en va et contraint toute âme au bonheur...
RépondreSupprimerTrès beaux moments à Vous, petite Marie.
l'été s'en va..
Supprimerplace aux sentiments d'automne
quand la vie pas à pas
prend les chemins du grand départ
une belle poésie pleine de tendresses et de souvenirs pour tes parents Marie, hélas j'ai connu aussi cette période où maman s'est égarée jusqu'à se perdre
RépondreSupprimerje t'embrasse
Ils se perdent oui
Supprimermais ils ont ont fond des yeux des lueurs
de soleil et d’étoiles!
L'automne a fait son œuvre
RépondreSupprimerPuis l'hiver est arrivé
Les années s'oublient
La tendresse fond à cœur
Tendresse qui repeint les étés qui s'enfuient!
SupprimerUne très belle poésie à lire et à relire.Amitiés
RépondreSupprimerLes saisons de la vie
SupprimerQui s'évanouissent trop vite dans des hivers d'oubli
Poème qui tape du pied pour que l'automne prenne la place de l'été
RépondreSupprimerL'automne est déjà trop présent et l'hiver n'est pas loin
SupprimerDe la tendresse dans tes mots pour chasser un instant la maladie aux dégâts inexorables. Il reste ton amour contre lequel aucun ennemi ne peut vaincre.
RépondreSupprimerL'amour et la tendresse seront les soleils de ces étés qui se meurent
SupprimerCa ressemble à une comptine que nos chères têtes blondes pourraient apprendre à l'automne venu.
RépondreSupprimerMerci pour cette poésie de rentrée
Chanson de fin d'été
SupprimerHélas, le ciel nous le montre et pourtant il reste quelques jours encore au calendrier
RépondreSupprimerJoli poème
Étés de nos saisons
SupprimerQui meurent
souvent bien trop vite!
ils ne restent que les bons souvenirs de ces beaux jours d'été où la météo a été clémente
RépondreSupprimerAu fond des yeux gardons les soleils de nos plus beaux étés
SupprimerFormidables souvenirs qui nous réchauffent pendant les froids hivers mais où part la mémoire à la vieillesse venue... comment ces personnes se raccrochent à la vie sans cette mémoire qui, faut le reconnaître, nous aide à avancer !
RépondreSupprimerA bientôt
l me touche beaucoup, ton poème, chère Marie, j'aime cette ambiance à la fois sereine et nostalgique que tu dédies à tes parents. J'aime aussi ta façon d'écrire trois vers qui riment, puis trois vers qui riment, puis...Comme une danse, comme un envol...
RépondreSupprimerLorraine