Avec des photos prises lors d'une fête de nuit sur la Vienne
et un camélia du jardin tout juste fleuri
Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
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Profitons de chaque instant, bon ou mauvais, en ne gardant dans nos souvenirs que les bons... si possible.
RépondreSupprimerMerci pour ton magnifique poème, Marie.
Bisous et douce journée.
Ce camélia est de toute beauté ! Tu as bien raison de nous livrer ces jolis mots pour nous rappeler que le temps file mais qu'il faut à tous prix profiter de chaque instant du mieux possible. Merci pour ce joli partage. bises
RépondreSupprimerOh oui Marie profitons, c'est ce que je me répète plusieurs fois par jour depuis que j'ai des soucis de santé. Quand je pense à ce que je faisais encore il y a seulement 5 ans, je me dis que la vieillesse ne fait parfois pas de cadeau. Mais je m'estime heureuse car je n'ai pas de maladie dite "grave", du moins je n'en ai pas connaissance. Il faut savoir les petits moments de joie et de bonheur quand ils passent et arrêter de croire que le bonheur est ailleurs. Nous l'avons sous le nez mais ne le voyons pas toujours. Tes mots sont beaux et font du bien, bonne journée
RépondreSupprimerrose
RépondreSupprimerA Dame Marie, gribouilleuse de talent
rose
" un petit gribouillis pour vous"
"Il est des jours, il est des nuits
Où perdues s'embrument les âmes :
Tic-tac d'horloge, le temps s'enfuit
On court après et puis on rame..."
C'est l'apanage de la jeunesse
De posséder une telle sagesse.
Bonjour tristesse chantait Sagan..
C'était hier... j'avais vingt ans,
"Nos pas s'enlisent dans le doute
Gommant la vie: elle est fanée
Et l'on hait le cœur en déroute
Cette ultime fin imposée..."
Les vieux n'ont plus le temps hélas !
D'avoir au coeur de telles idées
Chaque jour pouvant être dernier
Ils l'apprécient car trop fugace.
"Et l'on crie et l'on croit encore
A une étoile à un sursis
La faucheuse passe à l'aurore
Et dans la mort nous engloutit..."
D'où tenez-vous de telles choses ?
C'est votre métier d'enseignante
Non le vécu "... le temps des roses... "
Chassez ces idées qui vous hantent
"Profitons donc de chaque instant
De ce cadeau qu'est l’existence
Des petits bonheurs envoûtants
Et de nos magiques romances
Il faut du temps pour savourer
Chaque moment et chaque instant
IL n'est pas d'âge pour l'apprécier
Mais vous en savez les secrets.
Carpe diem.. Plus on vieillit et plus cette maxime est vraie.. Tu as tres bien exprimé ce temps qui court et qui souvent emporte ceux qu on aime..
RépondreSupprimerBonjour Marie,
RépondreSupprimerCe poème me prend aux tripes.
Oui profitons du temps car tout va si rapidement.
Belle fin de semaine. je t'embrasse
Merci Marie, tu dis joliment ce qu'il ne faut jamais oublier. La vie est éphémère et il faut savoir profiter de chaque petit bonheur. Bises alpines et merci.
RépondreSupprimerC'est l'ultime porte à passer
RépondreSupprimerun au revoir pour l'éternité
au prix des larmes versées
Les heures ne reviennent pas
quand la cloche sonne le trépas
RépondreSupprimerChère Marie,
Comme tu le dis si bien, même si l'on s'y attend c'est toujours avec une angoisse que l'on appréhende le moment de dire adieu à la personne que l'on aime, d'autant plus lorsqu'il s'agit d'une Maman.
Que dire sur ton poème sinon qu'il est magnifique, tout comme cette mise en page sur fond de deuil mais aussi sur lequel apparaissent deux anneaux de lumière. Je les interprète comme ceux de tes Parents qui seront unis dans l'Eternité.
Courage Marie et profite de ce petit mieux, même s'il est provisoire !
Bonjour chère Marie,
RépondreSupprimerJe te souhaite que ta maman se rétablisse très vite !
Magnifique poésie qui touche les coeurs !
Bonjour Marie...
RépondreSupprimerUn poème plein de chagrin et qui m'émeut au plus profond de moi...
Je souhaite que ta maman aille pour le mieux et que sa santé se stabilise..
Je t'apporte mon sincère soutien...
Salah
Oui, croire en la vie, espérer toujours, même si la peur plane autour de nous et les nuages noirs, merci Marie de ces mots dits avec le coeur...
RépondreSupprimerJe t'embrasse
Ce temps s'approche terriblement vite passé un certain âge je n'ose imaginer Marie et pourtant je sens que les mois seront bientôt comptés.
RépondreSupprimerQue le temps passe vite, plus on s'approche de la fin... Joliment écrit ton poème.
RépondreSupprimerPersonnellement, j'ai tant de poésies dans ma tête que je ne sais pas si j'aurais le temps de toutes les écrire.
Bon et doux weekend Marie
Bisous
timilo
Nous sommes tous confronté à notre propre fin et on ne sait jamais quand elle intervient, l'âge n'est pas un facteur déterminant, seul le grand âge est assuré de sa fin, mais la mort n'est pas aussi horrible que ce que l'on nous a toujours raconté, elle est triste pour les vivants, mais le mort connait la délivrance. Il m'est arrivé de la côtoyer et les perspectives qu'elle offre sont douces et paisibles, les vivants devraient apprendre à la vivre comme une fête.
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Un poème très touchant, Marie, je compatis de tout cœur. J'espère que ta maman va aller mieux, et que la Faucheuse va s'en écarter. La mienne n'étant pas très vaillante pour l'instant non plus, je suis de tout cœur avec toi. Nos mamans sont des êtres irremplaçables, et leur départ marquera la fin d'un chapitre, d'un tome, d'une œuvre. Merci à toi, et continue à nous donner des nouvelles de ta maman.
RépondreSupprimerChère Marie, j'apprends à l'instant cette triste nouvelle. J'espère de tout coeur que ta maman ira mieux. Je sais trop ce que sont ces moments douloureux. Une maman c'est irremplaçable.
RépondreSupprimerQue l'amitié de tous tes amis de la branche te soutienne. Gros bisous Marie.
Ton poème est beau de douleur et de tendresse. Si doux dans la peine.
Chère Marie, comme nos amis, je souhaite un mieux pour ta maman, afin que tu puisses profiter encore de sa présence.
RépondreSupprimerTon poème est une splendeur, et toujours cette douceur qui te caractérise.
Pensées émues, bises amicales.
Chère Marie, j’espère de tout mon cœur que ta maman va continuer d’aller mieux…
RépondreSupprimerje comprends tout à fait ton angoisse et pense bien à toi. Je fais brûler une bougie
à l’intention de ta maman ; donne-nous des nouvelles.
Superbe ton Ultime voyage !
Quand je pense qu'on naît pour mourir !!Heureusement entre les deux il y la vie ! un poème qui résonne en moi !
RépondreSupprimerUne poèsie émouvante .....
RépondreSupprimerOn a beau savoir ...le chagrin est lourd ....perdre ceux qu'on aime tendrement, c'est une rude épreuve ..quelque soit l'âge .
Ce wek end , je suis de garde chez la mienne...
Tu as raison , profitez et dire je t'aime qand il est temps
Je souhaite aussi que ce mieux se stabilise
Un poème très touchant, Marie, je compatis de tout cœur. J'espère que ta maman va aller mieux, et que la Faucheuse va s'en écarter. La mienne n'étant pas très vaillante pour l'instant non plus, je suis de tout cœur avec toi. Nos mamans sont des êtres irremplaçables, et leur départ marquera la fin d'un chapitre, d'un tome, d'une œuvre. Merci à toi, et continue à nous donner des nouvelles de ta maman.
RépondreSupprimerTout va si vite,les heures,les jours et l'on s' aperçoit qu'il nous reste tant à découvrir! Que chaque instant nous conduise à l'émerveillement.
RépondreSupprimerMerci pour tous vos messages
RépondreSupprimer"Vie-temps-mort est un tout indissociable. On ne peut échapper à ces trois entités concomitantes et complices qui déterminent tout phénomène vivant. Car si le temps nous paraît un terrible dévoreur de vies, il en est en même temps le grand fournisseur."
Cinq méditations sur la mort. Autrement dit sur la vie (2013) de François Cheng
Comme je connais cette angoisse, Marie, et comme je la redoutait....Elle est venue me le prendre pour toujours et depuis il manque un morceau de mon cœur. Belle fin de journée
RépondreSupprimerJe suis très sensible à la dernière strophe de ton poème. Serait ce dû à l'âge ?
RépondreSupprimerJ'aime ton pays, Marie, le raffinement de ton âme, tes mots aussi, ta musique intime et ton cœur à cœur si touchant.
RépondreSupprimersuis bien ici.
Je t'embrasse.
Roger
profitons du moment présent! belle photo.
RépondreSupprimerCourage à toi. je ne savais pas que ta maman était malade! Une grande présence s'impose !
RépondreSupprimerChère Marie,
RépondreSupprimerTon poème est très beau, très juste!
J’espère de tout cœur que ta maman va continuer à aller mieux,
à aller bien.
Une douce pensée pour toi, une douce pensée pour elle!
Chère Marie, je suis désolée de ne pas avoir vu ton poème. Je comprends ta crainte et ton chagrin mais j'ose espérer de tout coeur que les bonnes nouvelles sur la santé de ta maman persistent et qu'en ce jour, tu peux encore espérer. Tu as raison, il faut profiter de chaque instant qui passe et de n'en retenir que le meilleur.
RépondreSupprimerComme Bettina je t'adresse ainsi qu'à ta maman, mes pensées les plus douces.
Ton poème est superbe, il faut profiter de chaque moment de bonheur, la vie nous joue parfois des tours bien cruels.
RépondreSupprimerJ'apprends que ta Maman est souffrante, entoure la de tendresse.
danièle
Je crois qu’essayer, avec tendresse et sérénité , d’accepter de laisser partir celui qui sent le moment arrivé de l’ultime voyage , est libérateur .
RépondreSupprimerLe lâcher prise est passation délicate.
Je repasse te voir en t'apportant un beau panier rempli de gros bisous.
RépondreSupprimerJe relis ton poème , c'est beau ...
RépondreSupprimerBon et doux weekend Marie
Bisous
timilo
un texte intime sur la vie, émouvant.
RépondreSupprimerIl y a des adieux qui soulagent mais ils nous font tant de peine aussi, et je pense à une de nos amies qui a connu ce départ, tellement triste, bien sûr...
RépondreSupprimerBonjour Marie,
RépondreSupprimerJ'aime les rimes et le message, ta plume est comme une boïte à musique, belle et triste à la fois mais qu'on écoute sans se lasser.
Mes Amitiés