Merci

Un immense MERCI pour tous les messages laissés sous mes poèmes...Si vous passez, laissez un petit mot c'est faire plaisir et valoriser photos et poèmes...MERCI

Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours.. Trop d'inconnus passent avec indifférence piochant ici et là images et mots!...
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dimanche 19 décembre 2010

Tanka: Puits du matin


 Le puits du matin
Crie le chant des profondeurs
Les songes s'enfuient...

Frémissent des perles d'eau
Sur les margelles des puits

Marie

jeudi 16 décembre 2010

Poème: Pensées de neige




Photos: Cantal février 2010

A ma marraine

Reviens juste un jour
Dire ton amour,
Offrir ton câlin,
Souffle pour demain,
Bouquet de courage,
Quand gronde l'orage..


lundi 13 décembre 2010

Poème: Esquisses


 En touches légères
Peu à peu se peint
Un tableau mystère
Le temps d'un matin...

samedi 11 décembre 2010

citation: Aimer


 Aimer
c'est offrir
La fragilité de la fleur
La tendresse de son cœur
La douce caresse de ses pétales...

Aimer tendresse 

vendredi 10 décembre 2010

Tanka: Vent de l'aube


  Vent de l'aube

Le vent baladin
Offre douce mélodie,
Soupir d'un mirage...

Sur les flammes bleues de l'aube,
S'annonce une renaissance

Pensées de l'aube 
Il y a des matins

mardi 7 décembre 2010

poème: Ailleurs, là-bas, plus haut!....



Ailleurs, là-bas, plus haut,
Où le ciel est plus bleu,
L’infini silencieux,
Quand crie une présence
En immense espérance,
Le monde est bien plus beau.


"Le silence des montagnes a ceci d'exaltant qu'il devient plénitude par l'immensité du vide qu'il déploie, aussi éblouissant que l'azur dont il semble un prolongement sonore, un écho suspendu.Le silence n'est plus alors perçu comme une absence de bruits mais comme une vibration continue, la note la plus haute que puisse entendre l'oreille humaine.Une note claire, bleue, longue, tout au bout du monde, un somptueux point d'orgue qui nous initie aux harmonies éternelles"
Philippe Mac Leod

lundi 6 décembre 2010

Poème: Brouillard


Dénudées, les branches tremblent…
Le brouillard s’est épaissi.
Les certitudes s’envolent
Quand l’aurore s’obscurcit
Et que s’arrachent les pages
D’une vie vaine et sans âge…