Merci

Un immense MERCI pour tous les messages laissés sous mes poèmes...Si vous passez, laissez un petit mot c'est faire plaisir et valoriser photos et poèmes...MERCI

Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours.. Trop d'inconnus passent avec indifférence piochant ici et là images et mots!...
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Chansons et musiques ...mise à jour 10 janvier 2015

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Grand Corps Malade
Je suis Charlie 
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 http://youtu.be/U2a79-0QuGo
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Paroles de la chanson «#JesuisCharlie»

Cette chanson a été rédigée dans la nuit du 7 au 8 Janvier 2015 suite à l'attentat touchant 12 personnes au Charlie Hebdo.

7 janvier 2015, j’ai pas envie d’aller au lit
Je préfère prendre un stylo car ce soir je suis Charlie
Nos artisans d’la liberté ont rencontré leur destinée
Ce soir j’écris pour eux parce que je sais pas dessiner
Soyons 66 millions à avoir la même idée
Pour que leurs cartouches d’encre à eux ne soit plus jamais vidées
Laissons des traces indélébiles pour que l’avenir puisse savoir
Que leur talent et leur courage ne vivent pas que dans nos mémoires
Écrivains parolier dessinateurs graffeurs
Musiciens poètes peintres et sculpteurs
Célébrités anonymes, professionnels et amateurs
Faisons en sorte que cet élan s’affiche plus loin que sur Twitter
Des hommes sont morts pour défendre la liberté d’expression
Mais leurs idées doivent rayonner et ne subir aucune pression
Contre l’obscurantisme avec honneur et insolence
A nous de prendre les crayons pour que leur combat ait un sens
J’ai mal à l’être humain, comment en est-on arrivé là ?
Perdu dans c’vacarme la fraternité chante a capela
La barbarie grandit sans aucune trace de dignité
en 2015 le monde a perdu toute humanité
Je suis Charlie je suis Charlie je suis Charlie je …
Si seulement les mois qui viennent pouvaient me faire mentir
Si seulement ce drame abjecte pouvait nous faire grandir
Puissions-nous nous réunir pour croire ensemble a l’embellie
Quoiqu’il advienne j’ai un stylo car ce soir je suis Charlie
Je suis Charlie je suis Charlie je suis Charlie je…


Gen Rosso Gen Rosso


LE VRAI VISAGE DE NOTRE TERRE

Chaque matin, le soleil éclaire

Tous les trésors de cette terre



Il y a des che­mins qui m’entraînent

Vers des pays rem­plis de riches­ses

Où l’on goûte à la joie et aux peines

Il y a des che­mins qui sont longs de ten­dresse



Il y a des chan­sons, des poèmes

Qui sont là pour nous émer­veiller

Des hommes, des femmes qui aiment

Et des regards d’enfants qu’on ne peut oublier



Si par hasard on me demande

Tout çà est beau, oui mais demain

Je répon­drai qu’il est un monde

 Où tout est fait d’une autre main



Le visage de cette terre

Pour beau­coup reste encore un mystère



Ses che­mins vont plus loin que l’espace

Ses pays ont une autre richesse

Ses regards sont si vrais qu’ils dépas­sent

Les joies et les dou­leurs, les larmes et la ten­dresse



Ses chan­sons par­le­ront à ton cœur

Si en toi tu as fait le silence

Et par­fois une simple lueur

Pour qui sait écouter devient une présence.



Paroles : Mancuso - musi­que ori­gi­nale : Zappala

Adaptation française : André GABORIT





 DANS SON MANTEAU GRIS DE POUSSIERE

Dans son man­teau gris de poussière  

Le jour s’endort 

Prisonnier du temps qui s’en va 

La nuit s’habille de mystère

La vie ce soir encore

Me file entre les doigts


Pourquoi cher­cher d’autres fon­tai­nes 

Quand dans les mains 

Nous avons tout pour être heu­reux 

Pourquoi tant de sour­ces loin­tai­nes 

S’il ne reste plus rien

Quand nous fer­mons les yeux


Pourquoi tout me sem­ble vide

Si l’amour ne vient pas

Brûler mes épines 


Vois la terr’ qui fris­sonne 

Vois nos coeurs qui s’éton­nent 

Viens met­tre un peu d’amour 

Au creux de nos nuits 

Viens, le froid nous menace 

Fais rejaillir le feu

Qui man­que à nos vies




Paroles et musi­que ori­gi­nale : M.T. HENDERSON

Adaptation française : André GABORIT





 Noir Desir
Le vent nous portera







Debussy
Clair de lune




Grand corps malade
Rencontres



Michel Pépé
Le temple intérieur



Georges Zamphir
Memory





Et puis la terre



Sous les plis de sa robe, la mer, amère mer, l'eau-gresse, 
piège, traque, assaille et dévore en silence.
 
Fatou Diomé (Mauve)
Une pensée pour le Japon
(cliquer ci-dessous)
Avant et Après 
Concerto de Aranjuez


Alchimia d'Amore
Michel Pepe







La voix du silence
Marie Laforêt








L'amitié
Groupe Crèche


Je l'ai rencontrée par hasard
Derrière un geste ou un regard,
Sur une place ou une gare
L'Amitié
Elle a besoin de nos promesses
Elle souffre quand on la délaisse
Mais elle comprend nos faiblesses
L'Amitié

J'ai besoin de ton amitié
pour continuer de marcher.




Quand on se sépare en chemin
Pour suivre chacun son destin,
Elle reste là et se souvient,
L'Amitié
Même si tu as changé de bord,
Même si tu me donnes tort;
Je voudrais croire en elle encore,
L'Amitié
J'ai tremblé devant ses silences,
Et j'ai souffert de son absence,
Je veux regagner sa confiance,
L'Amitié
Si elle me dit "viens avec moi"
"Reprends ton bâton et suis-moi",
Je veux la suivre pas à pas,
L'Amitié
J'ai besoin de ton amitié
pour continuer de marcher.


J-C Gianadda




Marie
J-C Gianadda





Ballade en Novembre
Anne Vanderlove



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Anne Vanderlove
Tous les bateaux



Anne Vanderlove
Les rendez-vous manqués

 
 Anne Vanderlove
Elle regarde la mer



Un enfant

Jacques Brel



Un enfant
Ça vous décroche un rêve
Ça le porte à ses lèvres
Et ça part en chantant
Un enfant
Avec un peu de chance
Ça entend le silence
Et ça pleure des diamants
Et ça rit à n'en savoir que faire
Et ça pleure en nous voyant pleurer
Ça s'endort de l'or sous les paupières
Et ça dort pour mieux nous faire rêver
Un enfant
Ça écoute le merle
Qui dépose ses perles
Sur la portée du vent
Un enfant
C'est le dernier poète
D'un monde qui s'entête
A vouloir devenir grand
Et ça demande si les nuages ont des ailes
Et ça s'inquiète d'une neige tombée
Et ça croit que nous sommes fidèles
Et ça se doute qu'il n'y a plus de fées
Mais un enfant...
Et nous fuyons l'enfance...
Un enfant...
Et nous voilà passants...
Un enfant...
Et nous voilà patience...
Un enfant...
Et nous voilà passés...

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La Quête

Jacques Brel - 1968
tiré de l'Homme de la Mancha

 
Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler, d'une possible fièvre
Partir, où personne ne part
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal
Tenter, sans force et sans armure
D'atteindre l'inaccessible étoile
Telle est ma quête
Suivre l'étoile 
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cœur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu 
Parce qu'un malheureux
Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre l'inaccessible étoile 


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Partir au grand large
 J-C Gianadda

Refrain

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Partir au grand large. 
Quelqu’un nous attend.
Briser les amarres.
Aller droit devant.
Malgré les orages.
La pluie et les vents.
Partir au grand large.
Quelqu’un nous attend.

 1.- Là-bas c’est l’image
D'un jour de printemps
Ça vaut le voyagez
La danse et les chants
Rebelles et sauvages
Allons droit devant
N’ayant pour bagage
Qu'un soleil levant


2.- Puisqu’on a tous l’âge 
D’un rêve d’enfant
Puisque nos rivages 
S’appellent le temps.
Mettons du courage 
Sur nos peurs de » grands ».
Et sur nos visages :  
 Le « soleil levant » !

3.- Ouvrons un sillage  
 Brisons les carcans
Marchons vers la plage  
En peuple vivant.
Comme des « Rois Mages »  
 Ou bien des mendiants
N’ayant qu’un « message » : 
Le soleil levant.




Aïcha



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-->
 Il faisait toujours gris dans sa tête,
C’est comme ça, allez savoir pourquoi ?
 Aïcha, la petit’mom’des “Baumettes”,
Voulait voir le soleil, rien qu’une fois.
Il faisait toujours gris dans sa tête,
C’est comme ça, on ne se refait pas !
Aïcha, la petit’ mom’ des “Baumettes”,
Voulait voir le soleil, rien qu’une fois.


 1.- Pour une “ rave ” : l’enfer  via  la seringue, pour un “ crack ” : le sordide au quotidien,
Pour un “ shoot ” : un voyage de dingue, c’est peut-être, la faute au destin.
Et c’est l’cercle infernal de la défonce, de postcure, en fugue, vol et prison
 Une vie, un’ survie, qui s’enfonce, labyrinthe de la clochardisation.


2.- Comment sortir, quand dehors le ciel pleure, boursouflure d’un bras trop piqué,
Et toujours, dans la rue le “ dealer ... ”, c’est la faute à la fatalité...
Et d’hôtels minables, en squatts sordides, et d’amours scratchés, en coup de “ flip”
Quand elle vous tient cette “ came ” morbide, dites-moi comment sortir de ce mauvais clip.

3.- Mais un soir qu’elle avait trop de peine, un soir, à bout de tout, elle a mis
Un peu trop de soleil dans ses veines, et comme un grand soleil s’éteignit...
Toutes les fleurs ont besoin de lumière, d’un reflet, d’un printemps qui s’éveille ;
Qu’il est dur le chemin qu’il faut faire, pour trouver en soi, le vrai soleil.