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Les lilas ont fané
Au creux des solitudes...
Les regards étonnés
Perdent leurs certitudes...
Au creux des solitudes...
Les regards étonnés
Perdent leurs certitudes...
Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
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quelle sensibilité...j'aime beaucoup tes poèmes !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup les lilas ...
RépondreSupprimerMerveilleusement écrit
Après les lilas il y aura le feu de l'été
Douce journée Marie
Bisous
timilo
Cela nous ramène à l'éphémère de la vie alors goûtons l'instant présent, celui qui ne reviendra jamais plus. Amitiés. Joëlle
RépondreSupprimerDes vers riches de sensibilité et de délicatesse, de la belle poésie.
RépondreSupprimerMes amitiés
Alain
quel délicat poème Marie, comme les lilas
RépondreSupprimerils ne sont pas éternels, durent peu de temps comme nos rencontres
mais profitons-en c'est le meilleur moment après viendront les jours où le soleil ivre de rage tournera dans le ciel et nous regretterons cette saison : le doux printemps
belle soirée Marie
mes amitiés
joelle (ozy
Émotion et douceur, le lilas en fleurs est comme nous éphémère !
RépondreSupprimerEn relisant ce merveilleux poème , je me laisse prendre dans les fragrances du lilas
RépondreSupprimerJoliment écrit
Douce journée Marie
Bisous
timilo
Merci Marie pour ton passage sur mon blog. Je viens de faire un tout sur le tien qui n'est pas mal du tout. Merci pour ce joli poème sur le Lilas. J'en ai à la maison et le blanc rouille malheureusement trop vite. Bises et bonne journée
RépondreSupprimerÉphémères sont les lilas comme nous qui passons bien trop vite.. L'écriture demeure, merci de nous la faire partager.
RépondreSupprimerMerci Marie pour ce beau et mélancolique poème au parfum de regret et de tendresse
RépondreSupprimerComme toujours chère Marie superbe ce poème où nous vient le parfum des lilas et leur éphémère beauté comme hélas est la vie
RépondreSupprimerJ’ai relu plusieurs fois… une poésie que le cœur porte au plus haut…
RépondreSupprimeril y a parfois l'inutilité des mots, les tiens sont un doux présent à la mémoire, et les lire laisse un goût de plénitude
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