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Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours.. Trop d'inconnus passent avec indifférence piochant ici et là images et mots!...
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vendredi 28 janvier 2022

Poème: Silence blanc

 

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Les plaines brûlées

Mont Dore



 
 
Poème publié sur le blog de Poetika
 

 

lundi 31 janvier 2022

Photos: Massif du Sancy ... Soleil et neige... (album photos)

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Poème:
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vendredi 13 juillet 2012

Photos:Tunisie... Gabes Kebili Chott El Jerid



Chott El Jerid: Mystérieux et Surprenant!

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https://photos.app.goo.gl/aDez8iSvbXGR2hDo9


 



Entre Kebili et Tozeur une route traverse ce désert de sable et de sel sur 80 km...
Le Chott el-Jérid est la plus vaste plaine saline ou sebkha tunisienne avec une superficie d'environ 5 000 km2.



 
Imaginez une route qui s'enfuit jusqu'à l'horizon...
Imaginez cette route traversant un océan immense dont les eaux se seraient évaporées
 

Imaginez le soleil sur le sable et le sel jouant sur les cristaux 
en les colorant de blanc, d'ocre, ou de rose...
 
La neige serait-elle tombée ici ou bien là-bas
 serait-ce une pluie comme poussière de safran?



 
Imaginez ce désert où toute vie a fuit, une marée basse pour l'éternité...
Imaginez ces étendues sans fin qui s'évaporent dans leurs mirages
Seuls quelques cabanes au bord de la route font oublier l'immense solitude,

 on y trouve amonceler des tonnes de roses des sables arrachées aux grottes des montagnes environnantes..
.Elles iront se perdre dans les valises des touristes...
Imaginez ...vous êtes sur le Chott El Jerid...
 
Mais cet endroit il ne faut pas que l'imaginer mais s'y plonger et peut-être attendre la venue d'un petit prince!



 

"Le désert est beau, ajouta-t-il...

Et c’était vrai. J’ai toujours aimé le désert. On s’assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. On n’entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence...

- Ce qui embellit le désert, dit le petit prince, c’est qu’il cache un puits quelque part...

Je fus surpris de comprendre soudain ce mystérieux rayonnement du sable. "

On aime aussi se rappeler cette citation de Théodore Monod :




 

" On éprouve du respect pour ces paysages intacts
qui ne nous ont rien demandé,
qui peuvent se passer de notre présence
et qui sont simplement majestueux..."


Paysages à parcourir si on aime le silence et le mystère des grands espaces...
Un régal pour les photographes qui pourront jouer avec le scintillement des couleurs suivant la course du soleil dans le ciel!...




 


À l'exception de quelques pistes aménagées, tout déplacement à l'intérieur du chott est imprudent surtout après les pluies (quand l'argile s'est transformée en vase).


Poème



 

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Rencontres



vendredi 20 novembre 2015

Photos: Mongolie 7...De Bayanzag à Ongiin Khiid...

De Bayanzag à Ongiin Khiid...

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https://photos.app.goo.gl/5476NYdFebcMjZaE7


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Remontée vers le nord 
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Accueil chez des éleveurs de chameaux et de chèvres
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avec la traversée d'Ingen Khuuvuriin Gobi:
steppe, sable, cailloutis, espaces déserts et infinis...
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Balade et séjour dans une vallée de la chaîne montagneuse de Saikhan Ovoo
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Sur les rives de la rivière Ongiin,
visite des ruines du monastère "Ongiin Khild"
d'un petit musée et du nouveau temple
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Histoire du monastère


 Le monastère d'Ongii Khiid se situe
au pied de la montagne Saikhan Ovoo...

 Ce monastère était l’un des plus grands
et des plus respectés de Mongolie
avant sa destruction en 1939 par les autorités communistes.
Il a été fondé en 1660 et se compose de deux sites,
l'un au nord et l'autre au sud de la rivière Ongiin.
Khutagt, au sud, est le plus ancien.
On y trouvait divers bâtiments administratifs, ainsi qu'onze temples. Barlim, au nord, 
fut construit au cours du XVIIIe siècle.
Il abritait 17 temples dont l’un était le plus grand de toute la Mongolie.
 Quatre universités bouddhiques étaient également hébergées dans le monastère.
A son apogée, le monastère pouvait accueillir
jusqu’à 1000 moines en même temps.

 Lors de la destruction complète du temple en 1939,
sous la direction de Khorloogiin Choibalsan, 200 moines furent tués
et nombre de survivants furent emprisonnés ou enrôlés de force
dans l’armée de répression communiste.
D’autres moines purent s’échapper et
devinrent éleveurs ou simples travailleurs.
L’eau de la rivière fut détournée pour alimenter les mines locales 
possédées par le gouvernement. L’assèchement de la rivière
entraîna le départ de la population locale.
Le monastère semblait alors voué à l’oubli.
Cependant, à la chute du pouvoir communiste, en 1990, trois moines
 qui avaient débuté leur éducation bouddhiste à Ongiin Khiid
soixante ans plus tôt, décidèrent d’y retourner.
Lentement et patiemment, ces moines bâtirent de nouvelles fondations
sur les anciennes ruines dans le but de restaurer Ongiin Khiid
et de redynamiser le bouddhisme en Mongolie.


Aujourd’hui, un temple a été entièrement reconstruit 
et deux petits musées ont été créés dans des yourtes.
On peut y trouver des expositions d’objets,
des articles religieux traditionnels
et des éléments architecturaux du monastère d’origine.

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Le stupa 

Le stupa, qui signifie « noeud de cheveux » en sanscrit
est un élément important de l’architecture bouddhiste
que l’on trouve presque dans tous les temples
et les monastères bouddhistes.
Les premiers stupas étaient des tombeaux
contenant les restes du Bouddha
ou d’autres figures bouddhistes importantes.
Les corps de plusieurs Dalai Lama reposent à l’intérieur de stupas
 dans le Palais de Potala au Tibet.



Les stupas modernes ne sont plus que très rarement construits
comme monuments commémoratifs mais plutôt
comme des symboles du culte.

Ils contiennent des textes sacrés
et les idoles plutôt que des restes humains.

Il y a différentes formes du stupa,
mais sa forme générale est universelle.
Le sommet du stupa représente le soleil, la lune, et une fleur de lotus,
 surmontant une grande flèche conique
représentant l’ombrelle royale de la symbolique bouddhiste.
La partie principale du stupa contient des reliques et des objets sacrés. 
Les stupas tibétains ont typiquement une base
avec deux séries de quatre et dix marches,
représentant les quatre états positifs de l’esprit
(l’amour, la compassion, la joie, et sérénité),
et les dix étapes dans le développement d’un Bodhishattva


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La danse Tsam
La danse religieuse avec masques: "Tsam Danse" 

 Cette danse est apparue pour la première fois en Mongolie
au cours du 8ème siècle.
Pendant la domination communiste,
la pratique de cette danse fut interdite.
Depuis la prise d'indépendance de la Mongolie en 1992,
elle est à nouveau pratiquée,
pour notre plus grand bonheur et celui des mongols.
Les danseurs de l'ensemble académique national mongol
de musique et de danse, au cours du spectacle se déroulant
au théatre "Tumen Ekh", ont effectué cette danse.

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un extrait trouvé sur You tube 
danse Tsam
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  Dans le passé, les danses mystiques possédaient
une signification considérable en Mongolie.
Elles étaient toujours accompagnées par de la musique.
Pour les danses rituelles, les moines portaient
des masques faits en papier mâché.
Le Tsam symbolisait la bataille des dieux contre leurs ennemis.
Dans la foi animiste (la plus ancienne de toutes les religions),
l'homme attribue une âme à tous les phénomènes naturels.
Les humains et les animaux sont donc ainsi
entourés de bons et mauvais esprits.


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Le vieil homme blanc (" Tsagaan Ovgon "):
Les mongols vénèrent un important dieu de la fertilité,
qui est représenté par le masque d'un aimable vieux homme
aux cheveux et à la barbe blanche,
avec des traits à la fois astucieux et blagueurs.
Il est considéré comme étant le maître de la terre et de l'eau.
Ses attributs, tel que son habit blanc et son bâton à tête de dragon,
sont hérités du chamanisme.

Il est le personnage principal de la danse Tsam,
dans laquelle il joue le rôle d'un bouffon.

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Liens vers toutes les photos de Mongolie



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