Le soleil a pleuré des rires infinis
Et ton cœur a sombré dans des gouffres d’oubli.
Tes mains blessées ont déchiqueté les nuages
En lisant les mensonges des livres des Sages.
Ce poème s'adresse à toutes celles qui restent dans l'ombre et qu'on ne voit plus...
toutes ces femmes qui deviennent transparentes après une vie de dévouement...
toutes celles qui ont trop donné et qui ne sont plus rien...
Les épouses qui ne sont plus que des "bonnes"
Les mamans qu'on ne vient plus voir et qui vivent avec souffrance l'absence de leurs enfants...
Et tant d'autres encore qui font semblant de rires et sourires alors qu'elles ont le cœur lourd de larmes...
"Le soleil a pleuré des rires infinis..."
Ce poème s'adresse à toutes celles qui restent dans l'ombre et qu'on ne voit plus...
toutes ces femmes qui deviennent transparentes après une vie de dévouement...
toutes celles qui ont trop donné et qui ne sont plus rien...
Les épouses qui ne sont plus que des "bonnes"
Les mamans qu'on ne vient plus voir et qui vivent avec souffrance l'absence de leurs enfants...
Et tant d'autres encore qui font semblant de rires et sourires alors qu'elles ont le cœur lourd de larmes...
"Le soleil a pleuré des rires infinis..."
Aujouird'hui,ça marche... Je te renouvelle mes compliments... J'aime beaucoup ce poème Merci .
RépondreSupprimerPasse une bonne soirée
Toujours heureuse de te lire!
RépondreSupprimerMerci
Marie
Je reviens lire ce poème... J'ai deux personnes proches atteintes de cette maladie.. terrifiante. Merci Marie
RépondreSupprimerBonsoir
Bonjour Marie
RépondreSupprimerLorsque je passe ici, même si je ne réponds pas tout de suite, tes écrits restent dans ma mémoire...
Des jours durant, tes mots se bousculent dans ma tête... Et j´ai parfois besoin de beaucoup temps avant de revenir te déposer un commentaire.
Je voudrais te dire infiniment MERCI pour cet émouvant poème dédié à toutes ces femmes...
« ... Prends bien garde de ne jamais faire pleurer une Femme,
parce que Dieu compte ses larmes ... »
La Femme est sortie de la côte de l´Homme.
Non de ses pieds pour être son paillasson,
Ni de sa tête pour lui être supérieure...
Mais de son flanc,
Pour être son égale....
... Juste au dessous de son bras pour être protégée ...
… Et à côté de son coeur
pour être aimée ...
(extrait du Talmud hébreux)
Bien à toi
Baiser papillon
laurence *.*
Merci Jackie et Laurence de votre fidélité à mes écrits!
RépondreSupprimerTon beau et douloureux poème me bouleverse...
RépondreSupprimerLa vie est pour certaines une traversée fantôme qui passe sans être vécue
Merci Marie pour l'émotion de tes mots
Bonjour Marie
RépondreSupprimerquel magnifique poème
Tes mots sont d'une justesse et tu parles d'une chose terrible
que de sanglots je pourrais ajouter au tien
tant d'injustice pour certaines
bisous et merci
Ondine, Line
RépondreSupprimerMerci
"Le soleil a pleuré des rires infinis
Et ton cœur a sombré dans des gouffres d’oubli."
Pendant ces fêtes de fin d'années combien vont vivre cette solitude et ces vides d'absence...
Ma chère Marie, je ne sais pas à qui s'adresse ce poème mais il est tragiquement beau.
RépondreSupprimer"Tu peux mourir ce soir, le monde t'oubliera !" ???
C'est toujours risqué de poser le premier commentaire car je crains de ne pas avoir bien compris le sens de ton poème.
Françoise, ce poème s'adresse à toutes celles qui restent dans l'ombre et qu'on ne voit plus...
Supprimertoutes ces femmes qui deviennent transparentes après une vie de dévouement...
toutes celles qui ont trop donné et qui ne sont plus rien...
Les épouses qui ne sont plus que des "bonnes"
Les mamans qu'on ne vient plus voir et qui vivent avec souffrance l'absence de leurs enfants...
Et tant d'autres encore qui font semblant de rire et sourire alors qu'elles ont le cœur lourd de larmes...
"Le soleil a pleuré des rires infinis..."
Merci de ton passage Françoise...
Merci Marie pour m'avoir éclairée sur le vrai sens de ton poème et mon commentaire demeure inchangé : C'est tragiquement beau.
SupprimerEn effet, la vie de beaucoup de femmes est souvent baignée de larmes, déversées ou retenues.
Un magnifique poème, émouvant hommage à celles
RépondreSupprimerqui se sentent inexistentes après avoir tant données
aux leurs et qui n'attendent plus rien de la vie...
un bel hommage, à toutes ces mamans dans l'ombre de leurs maris et de leurs enfants
RépondreSupprimerbien que ce soit leur rôles; on les oublie en tant que femmes,
Je l'ai lu hier au soir ton poème chère Marie, et j'ai été tellement touchée que j'ai pleuré avec le soleil...
RépondreSupprimerTon poème redonne vie à toutes ces femmes négligées par leur époux, à toutes ces mères oubliées par leurs enfants.
Merci.
Oui, le soleil a pleuré. La maman s'est oubliée, elle s'est donnée, trop donnée. Mérite-t-elle d'être ainsi délaissée? Mon coeur pleure pour toutes ces mamans et certainement un peu pour moi.... C'est touchant!
RépondreSupprimerQue de souffrance dans ce poème Marie, où la seule Liberté c'est de s'évader dans la poésie.
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