6 - De Debark à Axoum 26 octobre
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La piste puis enfin la route…Les monts du Simien se dessinent
sur l’horizon…
Des tours de lave imposantes forment de profonds canyons…
A d’autres endroits, le paysage apparaît comme un amphithéâtre
sur les gradins duquel les hommes cultivent pour survivre…
« Tout est vivant…Observer signifie voir l’invisible
assister
au miracle de l’animation immédiate. » Bern Bierbaum
Les enfants se déplacent à toute vitesse jaillissant de sentiers
perdus,
de vallées cachées, regards étonnés, on prend une photo. ils
aiment la regarder, emportenun petit savon , un porte-clef en souvenirs…
Les paysans vont à pied dans leurs champs situés à flanc de
montagne…
Les femmes portent de lourds fagots de bois d’eucalyptus pour
faire cuire le repas
ou les vendre au marché pour quelques birrs.
Des enfants conduisent leur troupeau vers des pâtures perdues…
Des étudiants vont ou reviennent du lycée…
Puis on se trouve soudain face à la rivière Tékézé , appelée « la
rivière terrible »….
Ici ou là poussent des arbres à encens ou des baobabs…
La route franchit cette vallée par de multiples lacets…
Les Amharas l’appelle la « route intestinale »
Dans les villages traversés, on croise la vie simple de chaque
jour…
Des dizaines de clichés à travers le pare-brise de notre bus pour ne pas
oublier…
Quelques arrêts pour des pauses café
ou pour admirer un
paysage…
ou encore observer la carrière d’où ont été extraites les stèles d’Axoum…
Et enfin après une journée en cahotant sur des pistes ou des
routes caillouteuses,
la cité impériale d’Axoum est là : une nouvelle
découverte nous attend.
Rue d'Axoum près de l'hôtel
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