Chapelle du cap de Carteret
Photos personnelles du château de Castelnau Bretenoux
Peinture de Marc Fishman Troubadour
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GAVARNIE
Dernière balade c'était le 12 aôut...
Gavarnie, un endroit toujours aussi magique...
Le cirque entra dans la légende lorsque Victor Hugo écrivit en 1855 :
« Qu’est-ce donc que cet objet inexplicable,
qui ne peut être une montagne
et qui a la hauteur des montagnes,
qui ne peut être une muraille
et qui a la forme des murailles ?
C’est une montagne et une muraille tout à la fois :
c’est l’édifice le plus mystérieux des architectes ;
c’est le colosseum de la nature :
c’est Gavarnie »
Une aconit napel ou casque de Jupiter
L'aconit est connu depuis l'Antiquité pour l'activité toxique de ses alcaloïdes puisqu'on l'utilisait pour la chasse ou empoisonner l'eau potable.
L'église, étape sur les chemins de Compostelle
Un des chemins de Compostelle pour passer en Espagne
Gavarnie, le site au petit matin loin de la foule
Le torrent et son légendaire petit pont
Plateau de la Courade avant le verrou glaciaire
Au fond du cirque
Muraille de 1700 mètres de hauteur et de 14 kilomètres de circonférence
La cascade, 423 mètres de hauteur... naissance du Gave de Pau
Effet de vent et de soleil sur la cascade
Le cirque en fin d'après-midi
Tout là-haut, tout là-haut, loin de la route sûre,
Des fermes, des vallons, par delà les coteaux,
Par delà les forêts, les tapis de verdure,
Loin des derniers gazons foulés par les troupeaux,
On rencontre un lac sombre encaissé dans l’abîme
Que forment quelques pics désolés et neigeux ;
L’eau, nuit et jour, y dort dans un repos sublime,
Et n’interrompt jamais son silence orageux.
Baudelaire
Sur ces monts où le vent efface tout vestige,
Ces glaciers pailletés qu’allume le soleil,
Sur ces rochers altiers où guette le vertige,
Dans ce lac où le soir mire son teint vermeil,
Sous mes pieds, sur ma tête et partout, le silence,
Le silence qui fait qu’on voudrait se sauver,
Le silence éternel et la montagne immense,
Car l’air est immobile et tout semble rêver.
On dirait que le ciel, en cette solitude,
Se contemple dans l’onde, et que ces monts, là-bas,
Écoutent, recueillis, dans leur grave attitude,
Un mystère divin que l’homme n’entend pas.
Baudelaire
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Le gave des Oulettes qui se jette dans le lac de Gaube
Quand on vieillit
les mots s'effacent,
tout passe,
reste juste leur écume,
sur la plage de nos vies éphémères...
Les années emportent souvent nos plus beaux projets et nos mots s'effilochent dans le vent du passé
Courégant près de Lorient :
des envies d'océan, de vagues et de vent avant de rentrer sagement à la maison:
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